MIRAGE
J’étais allongé prés de ce corps
J’étais la prés de toi à faire tant d’efforts
Dans cette demie obscurité
Tu étais là , prés de moi allongée
mon cœur au bout des doigts
Je n’avais qu’une envie , c’était de toi
Tous ces petits râles et soupirs
Faisaient naitre en moi , un profond désir
Tiraillé entre sagesse, et impulsions
Je me forçais à rester , petit garçon
L’émoi m’étreignait la gorge
Tu t’endormais comme prés d’un gosse
Souffle court , mains tremblantes
La tension faisait battre mes tempes
Mes pensées me ramène sans cesse
dans cette semi obscurité emplie de tendresse
Sur mes doigts caressant ton épaule
De tes petits soupirs d’un sommeil qui s’étiolent
Aujourd’hui, il faut que je le confesse
Je t’ adule comme une déesse
J’adore me noyer dans tes yeux
J’adore fantasmer , quant tu caresses tes cheveux
Je devenais fou, quant tu me parlais du regard
Ma passion grandissait et me rendais hagard
J’avais envie de te dire des choses rose
Je m’empressais de t’écrire des proses
Je me souviens de la courbe de tes hanches
De tes cheveux caressés par les branches
De ces boucles d’oreilles qui embrassent tes oreilles
De ta peau que tu offrais au soleil
Ho oui j’ai adoré ce moment de cette bretelle tombant de ton épaule
De tes yeux noirs profond qui rigolent
De ces superbes moment s ou je posais mes mains sur toi
Caressant la plante de tes pieds avec le bout de me doigts
Tous ces jours , toutes ces soirées
Prés de toi, je les ai adorés
Tous ceci en moi je garderais
Car sans que tu le veuilles , moi je t’ai aimé
Frnacky h
J’étais allongé prés de ce corps
J’étais la prés de toi à faire tant d’efforts
Dans cette demie obscurité
Tu étais là , prés de moi allongée
mon cœur au bout des doigts
Je n’avais qu’une envie , c’était de toi
Tous ces petits râles et soupirs
Faisaient naitre en moi , un profond désir
Tiraillé entre sagesse, et impulsions
Je me forçais à rester , petit garçon
L’émoi m’étreignait la gorge
Tu t’endormais comme prés d’un gosse
Souffle court , mains tremblantes
La tension faisait battre mes tempes
Mes pensées me ramène sans cesse
dans cette semi obscurité emplie de tendresse
Sur mes doigts caressant ton épaule
De tes petits soupirs d’un sommeil qui s’étiolent
Aujourd’hui, il faut que je le confesse
Je t’ adule comme une déesse
J’adore me noyer dans tes yeux
J’adore fantasmer , quant tu caresses tes cheveux
Je devenais fou, quant tu me parlais du regard
Ma passion grandissait et me rendais hagard
J’avais envie de te dire des choses rose
Je m’empressais de t’écrire des proses
Je me souviens de la courbe de tes hanches
De tes cheveux caressés par les branches
De ces boucles d’oreilles qui embrassent tes oreilles
De ta peau que tu offrais au soleil
Ho oui j’ai adoré ce moment de cette bretelle tombant de ton épaule
De tes yeux noirs profond qui rigolent
De ces superbes moment s ou je posais mes mains sur toi
Caressant la plante de tes pieds avec le bout de me doigts
Tous ces jours , toutes ces soirées
Prés de toi, je les ai adorés
Tous ceci en moi je garderais
Car sans que tu le veuilles , moi je t’ai aimé
Frnacky h